Un grain juste cuit, pas d’eau gâchée, et zéro stress devant la casserole. La bonne méthode existe: simple, régulière, et économe en énergie
Scène d’ouverture. Casserole qui déborde, mousse blanche, geste paniqué pour baisser le feu. On a tous connu ce moment. Bonne nouvelle: le riz n’aime pas qu’on le surveille, mais il adore la cuisson par absorption. Une juste dose d’eau, un couvercle, et vous êtes tranquille.
Retenez la règle simple: 1 volume de riz = 1,5 volume d’eau. Pas plus. Pas moins. C’est la base pour un grain séparé et une cuisson régulière, sans égouttage ni gaspillage. Rincez le riz jusqu’à ce que l’eau soit presque claire. Mettez-le dans une casserole épaisse, ajoutez l’eau et une pincée de sel, puis couvrez.
Portez à petite ébullition et baissez sur feu doux. La casserole doit seulement chuchoter, pas bouillir fort. Quand l’eau a disparu de la surface et que de la vapeur douce s’échappe, coupez le feu et laissez reposer 5 minutes, couvercle fermé. Égrenez à la cuillère en bois : le grain est cuit, la texture est nette.
Le couvercle posé du début à la fin retient la chaleur et limite la vapeur qui s’échappe. Réduisez la flamme dès l’ébullition: une chaleur douce suffit pour une cuisson régulière. Choisissez un feu adapté au diamètre de la casserole pour éviter les pertes. Astuce utile: éteindre 2 minutes avant la fin et laisser la cuisson se terminer à couvert. La chaleur résiduelle fait le travail.
Si vous cuisinez parfois à grande eau, gardez l’eau amidonnée: elle épaissit une soupe ou un velouté sans crème. Et si un fond accroche, ne grattez pas fort : versez un peu d’eau chaude, laissez poser, puis décollez délicatement.
Pour un riz long et aérien, basmati ou thaï font merveille: parfumés, grains séparés, cuisson 10–12 minutes à feu doux. Ils aiment le ratio 1,5 et un bref repos à couvert. Envie de tenue et de fibres? Le riz complet demande plus d’eau (1 volume de riz pour 1,8 à 2 volumes d’eau) et un temps plus long (25–30 minutes): résultat ferme, idéal pour salades et plats mijotés.
Pour un risotto ou un bol crémeux, le riz rond libère davantage d’amidon. Gardez-le pour ce type de recettes: l’absorption reste utile, mais on dose l’humidité par ajouts successifs de bouillon.
Dîner vite prêt: riz chaud, filet d’huile d’olive, herbes, œuf au plat. Simple, tout bon. Le lendemain, salade: riz froid, légumes croquants, citron, graines. Le grain reste net grâce à l’absorption. Troisième acte, soupe express: faites revenir oignon et ail, ajoutez bouillon, un reste de riz, quelques légumes surgelés. Mixez ou pas: c’est lié, réconfortant, zéro prise de tête.
Au fond, la méthode est plus zen que technique. On mesure, on couvre, on écoute la casserole qui chuchote. Pendant que le riz fait sa vie, vous gagnez du temps, de l’énergie… et un bol qui sert deux, trois fois. Ce soir, laissez la vapeur travailler pour vous.
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